Caoutchouc bio-attribué

HYGIÈNE ET PROPRETÉ

Dans les hôpitaux, le maintien d’une hygiène maximale est un aspect fondamental et quotidien. Il est essentiel de respecter des normes strictes et quelques joints ouverts sur le revêtement suffisent à générer des foyers de bactéries.

Nos revêtements en caoutchouc ne s’ouvrent pas sur les joints car ils ne contiennent pas de plastifiants qui migrent dans le temps.

Le caoutchouc possède en outre des qualités bactériostatiques naturelles, ce qui en fait un choix stratégique pour les hôpitaux.

Le nombre limité de coutures et la surface lisse rendent nos revêtements de sol faciles à nettoyer et à assainir. Les surfaces pratiquement monolithiques créées permettent d’éviter la contamination et la prolifération de bactéries nocives.

Les revêtements pratiquement monolithiques qui en découlent contribuent à éviter la contamination et la prolifération de bactéries nocives.

Les revêtements en caoutchouc peuvent être nettoyés avec des produits professionnels et par le personnel approprié avec une grande facilité, répondant aux protocoles de contrôle des infections des structures hospitalières.

EMPREINTE RÉSIDUELLE

La capacité à récupérer une empreinte résiduelle est l’un des plus grands défis pour les revêtements dans les hôpitaux.

L’empreinte est causée, généralement dans les chambres d’hôpital, par la présence d’éléments d’ameublement, tels que les lits, les armoires et les appareils, qui restent pendant de longues périodes sans être déplacés et exercent un poids constant sur le revêtement.

À cet égard, nos revêtements en caoutchouc de 2 mm d’épaisseur ont montré d’excellentes performances de résistance à l’empreinte, tandis que des épaisseurs plus importantes permettent une excellente réduction des bruits de pas et contribuent donc à améliorer l’acoustique des pièces.

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Caoutchouc produit avec une grande quantité d’huiles biosourcées provenant de plantes ou de graines. Le terme « bio-attribué » indique que l’utilisation de matières premières biosourcées a été attribuée à l’aide de la méthodologie du bilan massique, qui mesure la mesure dans laquelle les matières premières dérivées de combustibles fossiles ont été remplacées par des matières premières renouvelables ou biosourcées.